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 Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre.

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Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre. Empty
MessageSujet: Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre.   Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre. EmptyJeu 11 Aoû - 13:04




Zvonko Srdjan Aksentije Djordjevic
ft. Sean O'pry


22 ANS ϟ LOSING CONTROL OF MYSELF ϟ CRACHEUR DE FEU - SPÉCIALISTE EN JONGLERIE ENFLAMMÉE - ACROBATE

LE 5 JUIN 1989 A ZAGREB ϟ CÉLIBATAIRE
ϟ CE QUE TU PENSES DE MILA NOLA ; Elle n’est rien d’autre qu’une pauvre égaré qui a un trop plein d’illusions qui lui ont remonté à la gorge. Trop de rêve, l’envie de changer le monde, de le modeler afin de crée une sphère universel. Cette connerie…ils sont tous devenu fou, elle la première. Pendant qu’ils sont tous là, agenouillé par terre à lui lécher les pieds pour son geste oh combien héroïque, il y a en qui se font briser la gueule parce qu’ils sont gay, d’autres qui se font cracher dessus et trainer plus bas que terre parce qu’ils n’ont pas choisi la voie prédestiné et d’autres encore qui crèvent, parce qu’ils sont légalement infâme. Ce n’est qu’une pauv’conne qui croit pouvoir changer le monde. J’crois pas en elle, l’être humain est pourris jusqu’à la moelle.
.

“ Cinq trucs inutiles à savoir... „


Aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours eu une fascination malsaine pour le feu. Un briquet entre les doigts, un bout de papier qui brûle à mes pieds, le tapis de ma chambre d’enfant qui prend feu. Lorsque j’étais plus jeune, je m’amusais à brûler tout et n’importe quoi. J’ai toujours aimé voir les objets se faire dévoré par les flammes, ça m’apporte une paix qu’aucune autre chose ne peut me faire ressentir. C’est ainsi d’ailleurs, que mes parents m’ont poussé dans l’art de la pyro-jonglistique sous les conseils d’un spécialiste. J’avais 12 ans lorsque j’ai commencé. Je crois que c’est la seule décision sensé que ses salauds ont put prendre dans leurs vies. Évidemment, ils l’ont fait à contrecœur. Ils auraient préférés que je devienne quelqu’un d’autre. Mais je n’en aie rien à foutre. J’aime jouer avec le feu. Je me suis brûlé mainte et une fois mais ça ne m’empêche de jouir à chaque fois que j’exerce ma passion. C’est tout ma vie. J’sais pas vraiment si je pourrais continuer à faire ça dans 10 ans, si je serais encore un cracheur de feu qui fait rêver les gens, un jongleur qui t’oblige à reculer de deux pas mais en tout cas je sais déjà comment je veux mourir : Dans les flammes.

Je n’ai pas de réel domicile fixe, je déteste la vie sédentaire et je déménage régulièrement, au moins tout les 6 mois. Parfois, il m’arrive même de rester à la rue, sans prendre la peine de chercher un appartement. Je loge dans des hôtels, chez mes amantes et parfois même dans des squattes. Ça me convient. Si j’accepte de me poser, j’ai peur de perdre ma liberté. On ne peut pas être un homme libre lorsqu’on doit se torturer l’esprit afin de savoir comment nous réglerons nos impôts. On ne peut pas être un homme libre lorsqu'on est enfermer entre quatre mur. je déteste ça, ça me fait flipper. je n'aie jamais aimé les espaces clos.

J’accepte qu’on me dit misogyne, car c’est la vérité. Pas que je déteste les femmes, loin de là, mais j’vois pas d’un très bon œil cette libération. Sans déconner, elles deviennent plus dégueulasses que les mecs. Dans ma tête, une belle femme, c’est une femme qui ferme sa gueule, qui s’enferme dans sa cuisine et qui me fou la paix. Mais j’ai appris à taire ce genre de chose, parce que j’ai pas envie de crever comme un abruti. Par contre, je ne suis pas homophobe. C’est compliqué, bien plus qu’on le croit, mais je ne le suis pas. Ils font ce qu’ils veulent, s’ils veulent se prendre par le cul, ce n’est pas mon soucis, je ne veux juste pas qu’ils m’approchent...surtout pas, j'sais le mal que ça fait d'être ce genre de personne, j'sais ce que l'on ressent, ce que l'on vit et je ne veux pas de ça.

j'ai un frère jumeau. il s'appelle Zivko. Il est ce que j'ai de plus précieux, c'est mon âme sœur, mon amour, ma moitié. je ne pourrais pas vivre sans lui. pourtant je le fais, car il est mort depuis 6 ans. J'sais bien qu'il est sous terre, mais j'le sens encore autours de moi, comme s'il ne m'avait jamais quitté. Ça me rassure, parce que je me sens moins seul. Il me protège, m'aide à survivre. J'suis surement fou, c'est probablement mon imagination, une putain d'hallucination mais j'aime ça.

J’suis pas quelqu’un de méchant, je vous l’assure. Mais je tiens tellement à me préserver ce dont à quoi je tiens que je ne fais pas attention à ce que je dis ou ce que je fais. La plupart du temps mon mauvais côté à tendance à prendre le dessus sur les qualités que je possède. Je sais que j’suis un mec bien, mais je l’oublie parfois ou trop souvent j’crois bien. Je blesse un tas de gens et généralement, mes excuses ne reçoivent pas de retour, peux être parce que je suis trop fier pour en faire.

.

“ Once upon a time... „

Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre. Tumblr_lopmed3BAw1qcdo8wo1_400

Ses doigts effleurèrent son visage et il retint un léger tremblement, blême, alors qu’il observait doucement le corps en face de lui, paisible : Zivko, sa moitié, son amour, son âme sœur, son frère. Comme un miroir macabre, il toisait doucement son portrait allongé, paupière close. ouvre les yeux bordel, ouvre les yeux, c’est fou comme il peut le haïr, de tout son cœur, de toute ses forces. Zvonko laissa sa main glisser contre l’épaule du jeune homme, retraçant la ligne de ses os apparent sous la peau fine. Un léger gémissement lui échappa et sa main se plaqua brusquement contre ses lèvres. « Vous n’êtes pas obligé de lui dire au revoir si cela est trop douloureux. » Son frère, le corps vêtu d’un costume trois pièces, la peau glacée, pâle. Plus pâle encore que le blanc même. Il souffle doucement et se penche au dessus de son visage, les traits tirées, les yeux humides, ses lèvres s’étirent en un léger rictus. Il appose sa bouche contre son front, longuement, respirant son odeur musquée, ses doigts se pressèrent sur les épaules de son frère, s’accrochant à lui comme on s’accroche à un filet d’espoir. Et soudainement il paniqua, complètement. « Je t’en supplie Zivko, réveille-toi, m’laisse pas, t’as pas le droit, Zivko, s’te plait. » Il s’accroche encore, encore, encore, faisant paniqué le monde qui l’entour. Il sent des mains le relevé de force, il a envie de crier, de le secouer, de crever, de s’allonger à côté de lui. Ce putain de manque, cette putain d’absence, il est comme un mort qui respire et lui aussi, il a disparue. On l’éloigne du corps de son frère et il l’observe doucement, à reculant, une dernière fois, réalisant peu à peu la véracité de la situation. Ce n’est pas une blague, il est bel et bien mort, il est bel et bien seul à présent. Il inspire alors et s’éloigne tendit que le son d’une boite que l’on ferme résonne. L’atmosphère dehors est bien plus macabre qu’à l’intérieur. Ses yeux se posent sur une femme, l’allure fière, sévère et impassible alors qu’elle pose au côté de son mari qui pleure, presque autant que lui presque. Ses tempes sont douloureuses, il y a comme un battement rapide, brutale. Sa main se plaque contre ses lèvres alors qu’il souffle fortement, il retint un gémissement. C’est son monde qui s’écroule, l’univers tout entier. La femme à l’allure sévère s’approche alors de lui, légèrement inquiète et pose sa main sur son épaule, grossière erreur. Il s’agite soudainement. « Tu l’as tué, tu l’as tué. » il murmure, levant les yeux vers sa mère, le regard noir de haine, d’angoisse, de douleur, le regard perdu. Celui d’un gosse qui vient de naitre, d’un homme qui se prépare à mourir, celui de son fils, désespéré. Elle accepte impuissante les accusations de son fils alors que celui-ci s’agite en face d’elle, prêt à lever la main. « Tout est de ta faute. T’es qu’une assassin, c’est toi qui me l’a enlevé, c’est toi qui l’as poussé à me laisser, je te hais, je te hais, je te hais tellement. Va en enfer et crève. » Elle pince ses lèvres, posant ses yeux sur ses escarpins alors que Zvonko continue de lui cracher à la figure toute la haine que sa mère lui inspire. C’est de sa faute, tout est de faute et il se répète qu’il est à présent seul, comme une litanie. Connard, tu sais bien que je déteste pleurer. Il accepte enfin de s’éloigner de sa mère, la laissant pleurer, à son tour anéanti. Nulle compassion, nul regret, c’est qu’une salope qu’il se dit. Rien d’autres. Plus de mère, plus de génitrice, plus de douceur, tout cela a disparue en même temps que Zivko. Il fouille dans sa veste et en sort une cigarette, nerveux, tremblotant. Il a conscience de chialer encore mais peu importe. Il se fou de tout aujourd’hui, demain et après demain. Plus rien n’a d’importance sans son frère. Il a du mal à se faire à cette idée d’ailleurs, celle d’être seul, sans moitié, sans jumeau. Se dire qu’il faut avancer alors que l’autre partie de notre âme est enterré sous terre. J’sais pas comment je vais faire pour avancer sans toi, j’sais même plus comment on respire. Bordel, j’suis rien si t’es plus là. tout est aller très vite, il n’a pas eu le temps de l’arrêter, de le résonner, il n’y a même pas pensé à vrai dire, lui-même dépassé par la situation. C’est de la faute de cette salope, j’sais que toi tu l’aimes, mais moi tout ce que je veux, c’est la voir crever. Pour tout dire, tout est parti en vrille quand Zivko a prit la décision d’assumer ce qu’il est, de se dévoiler, de sortir du placard. Histoire de mettre un pied dans la tombe.


Ses doigts effleurèrent son visage humide. Zvonko s’observe dans la glace, son regard se posant un instant sur le bondage couvrant son torse. Il n’a pas sût rester concentrer durant le numéro d’il y a une semaine. Il connait pourtant les risques, mais l’absence est si pesante, qu’il arrive même à ne pas prendre goût à pratiquer ce qu’il a de plus précieux. Le temps semble s’être allongé, somme si les secondes sont devenues des heures, les minutes des semaines, les heures des mois. Ses engueulades avec Zivko lui manque, ses cris, ses fou rires, même sa présence parfois atrocement agaçante lui manque. C’est dingue comme il suffit qu’un seul mec disparaisse pour que le monde devienne brutalement fade. Plus rien n’a d’importance, il n’est plus là, il ne sera jamais plus à ses côtés. Ils n’ont jamais été capable de se séparer plus de quelques heures, lié quoi qu’il advienne, ensemble et c’est tout. Il n’arrive pas à croire qu’il puisse se retrouver seul aussi tôt. Il a toujours été persuadé qu’il serait le premier à partir. Même Zivko était d’accord avec cette vision de leurs avenirs. Ils imaginaient qu’il allait crever suite à un numéro raté, du kerdane dans les poumons, une pneumonie, la mort. Ils espéraient que cela arrivera quand il aura atteint les 35 ans au moins, le temps que son frère puisse s’être construit une vie assez stable pour qu’il ne tienne pas à le rejoindre. Mais là, que faire ? Aller le retrouver ? Continuer à vivre ? Il est complètement perdu. A présent tout semble aussi possible qu’impossible et honnêtement il se fiche complètement de ce que demain sera fait. Il y a tellement de chose qu’il regrette. Avant tout, il y a l’absence de son père, peux être que s’il avait été plus présent, sa mère n’aurait pas réagit de cette façon, peux être qu’elle aurait ouvert les yeux avant de recevoir ce putain de coup de téléphone. Mais pas seulement. Il regrette de ne pas été assez présent, de ne pas avoir sût lui dire qu’il était fier de ce qu’il était, homosexuel ou non, religion ou non, peux être que s’il lui avait dit un malheureux je t’aime, son frère serait encore là, peux être même qu’il aurait trouver en lui la force de se battre contre sa mère et ses foutues idéaux à la con. Mais non, il a décidé d’être silencieux, de fermer sa gueule et voilà le résultat. Il est mort. Zvonko se souvient du coup de téléphone comme si c’était hier. Il était tard, affreusement tard et il trainait encore dehors, une torche entre les mains, une bouteille de Kerdane à ses pieds et un public en face de lui. Il se souvint d’avoir sentit le téléphone vibrer dans sa poche, de s’être excuser au prêt du public puis avoir décroché, un léger sourire sur les lèvres. Un inconnu, un charabia à la con, numéro d’urgence, camion, pont, accident, mort, suicide, Zivko. Il se souvint avoir d’abord crut à une blague, avoir supplié à mainte reprise qu’on lui dise que toute cette histoire était fausse. Il avait raccroché pour fondre en larme immédiatement, se laissant tomber par terre. C’est fou, mais à ce moment-là sa seule réaction fut de tenter d’imaginer ce qui a bien put se passer, de se mettre à la place de son frère pour mettre des mots sur son acte. Mais il n’y aura rien. Comment a-t-il put l’abandonner ? le laisser derrière ? ne pas prendre en compte les conséquences de ses actes ? Pourquoi ce putain d’égoïsme ? Il sort de la salle de bain, claquant violemment la porte alors qu’ignorant les mots de sa mère il s’en va s’enfermer dans ce qui est à présent sa propre chambre.


J’me dis que j’ai bien du courage pour avoir survécus aussi longtemps sans trop de dommage. Les boites de médicaments m’ont souvent fait de l’œil, j’avoue que j’ai déjà était tenter sans pour autant m’en approcher. Comme si Zivko était là pour me retenir. Parfois, j’ai l’impression de le sentir, juste à côté de moi, sa main dans la mienne, son épaule contre la mienne, j’entends son putain de rire à la con et j’ai la sensation de revivre, quelques secondes, quelques minutes. Mais ça ne dure jamais. Pourtant j’suis pas dépressif, j’ai passé cette étape depuis longtemps. Ce serait accordé trop d’importance à sa mort et je refuse de vivre en ne pensant qu’à son corps coincé à jamais dans une boite de luxe à moins 10 mètre du sol. Lorsque je pense à mon frère, j’ai envie de penser à son vivant, son sourire, sa présence, ce qui faisait que je me sentais bien au prêt de lui. Ca me donne la force de continuer. La force de jouer avec le feu, de m’élancer dans le vide, de continuer à m’exercer, de faire ce que je fais de mieux. J’serais plus là sans lui. Même absent, je réalise qu’il peut encore me donner du courage. Je n’ai pas pour autant oublier mes regrets. J’ai mit du temps pour apprendre à saluer mes parents. Ca ne va pas plus loin, mais c’est déjà ça. Je n’aie toujours pas pardonné ma lâcheté mais j’ai accepté mon erreur, le fait qu’il serait probablement encore vivant si jamais sût l’épauler. Je n’y peux rien à présent, alors autant l’accepter, même si c’est dur à avaler. J’mène mon petit bout de vie. Pour le moment, j’loge dans un des hôtels de Zagreb, je serais sûrement à la rue le mois prochain mais je m’en fou. Vivre sans attache, ça me permet de réfléchir à un tas de chose, notamment à ce que je suis réellement. Y’a des trucs que je refuse de m’avouer, non parce que ça me dégoute, mais parce que ça me fait peur. J’me demande, Zivko, comment t’as fait pour accepter ta différence, comment t’as pour vivre avec aussi longtemp. j’peux pas. Je ne veux pas vivre ce qui t’as tué, je ne veux pas faire les mêmes erreurs que toi, avec un peu de chance, si je prie assez fort, peux être que je deviendrais normal. Je n’aurais pas à souffrir, à supporter le regard du monde. Personne ne peut comprendre ce que ça me fait de vivre ça. Ce n’est pas tant la peur de ne pas être accepter qui me donne envie de fuir, c’est le poids de sa mort, si lourde, si présente, le poids de son âme, de sa présence qui me met en garde, qui me souffle de le désister. Si aimer c’est de la folie, aimer une autre voie, c’est bien pire. Je le sais, je le ressens, au plus profond de moi. Comme si Zivko était à côté de moi et qu’il me soufflait à l’oreille, doucement « ne tombe pas dans ce piège-là. »


“ Javanaise „
Javanaise, l'âge de dieu, amant officiel de ce défunt Gainsbarre. D'ailleurs en parlant de lui, on va être clair, OUI, j'le baiserais bien s'il était vivant. On s'en fou qu'il a la gueule d'un mec qui c'est fait foncé dessus par un camion...ce charisme qu'il a bordeldemerde! En passant, j'baise aussi Josh Beech et Cole mohr. On s'en fou, c'pas le plus important mais je devais le dire. Johnny Depp aussi j'le baiserais bien...non en fait c'est sur. Il est excellent cet homme là. j'aime les mecs matures moi. Enfin, enfin, je vais tenter de faire court. Donc j'vis chez les coqs, si je compte bien, y'a sept jours, j'suis toujours présente, mais je suis plus opérationnelle en weekend. Va savoir pourquoi. Et hum.....ah ouai, faites-moi l'amour bande de sauvage Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre. 3188653342


Dernière édition par Zvonko S. Djordjevic le Sam 13 Aoû - 3:36, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre.   Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre. EmptyJeu 11 Aoû - 13:05

Bienvenue sur GAY COMMUNITY & merci de ton inscription Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre. 4251308190
Bon courage pour ta fiche (a)
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MessageSujet: Re: Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre.   Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre. EmptyJeu 11 Aoû - 13:07

AH MIAM Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre. 3188653342

Bienvenue !!!
Et bonne chance pour ta fiche Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre. 3533921347
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MessageSujet: Re: Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre.   Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre. EmptyJeu 11 Aoû - 13:10

    Bienvenue sur le forum =)
    Je connaissais pas ton avatar mais je dois dire que c'est un bon choix, bonne continuation pour la suite de ta fiche =)
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MessageSujet: Re: Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre.   Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre. EmptyJeu 11 Aoû - 13:14

Merci bien les gens Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre. 3533921347
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MessageSujet: Re: Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre.   Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre. EmptyJeu 11 Aoû - 14:06

Bienvenue parmi nous, beau jeune homme bisous
Et bonne continuation pour la suite Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre. 4251308190
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Bienvenue sur le forum Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre. 1537155887
Je crois de t'avoir déjà dis sur Bazzart; mais très bon choix de pseudo :)
Bonne chance pour ta fiche =D
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MessageSujet: Re: Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre.   Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre. EmptyJeu 11 Aoû - 14:12


    SEAAAAAAAN Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre. 3188653342
    Bienvenue Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre. 2124793060
    Et bon courage pour ta fiche Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre. 2176505670
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Bienvenue sur le forum Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre. 3533921347
Bonne chance pour la suite de ta fiche ♥️
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Ah, merci bien les gens (aa)
Ouai, j'te le confirme ASK, tu me l'as déjà dis, mais merci encore Tu vois quand tu fermes les yeux et que tu désires un truc très fort. Et bah Dieu c’est le mec qui en a rien à foutre. 3533921347
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